PARCOURS ET VISION

Parcours :

Né en France en 1992, Vincent grandit dans l’Est parisien.
Depuis l’enfance, il ne pense qu’à partir pour découvrir le monde.

En 2013, attiré par la photographie, il arrête ses études pour consacrer tout son temps libre à l’étude de ce médium.
Il participe à un concours national dont il termine à la troisième place.

En 2016, il organise ses premiers roads-trips eu Europe et affine son regard.

En 2019, porté par un besoin profond de voir le monde, il s’expatri en Allemagne pendant un an, puis aux Émirats Arabes Unis pendant deux ans.

Ces expériences lui permettront de voyager dans plus de 30 pays, lors desquelles il affine encore sa technique, et engage une reflexion de fond sur sa pratique et sa position artistique. (Arabie Saoudite, Kazaksthan, Turquie, Sri Lanka, U.A.E., Maldives, Finlande, Danemark, Suisse, Bulgarie..)
Autant d’histoires, de destinations, de cultures, et de paysages qui influencent sa vision du monde.
Aujourd’hui, son travail nous fait voyager aux quatres coins du monde, alliant expériences de vies et réflexions sur le monde.

Mon travail en quelques mots :

« La photographie est pour moi une façon de témoigner du monde dans lequel je vis.
Nous vivons dans un monde en pleine mutation , et il me semble important de témoigner de ce que nous étions en tant qu’humain, en tant que société, et en tant qu’être vivant sur Terre, avant 2050.

Pourquoi 2050 ?

En 2050, j’aurai 58 ans, l’âge de transmettre.
2050, ce sera un demi-siècle avant le prochain, et un demi-siècle après l’an 2000, ce sera le moment de faire le bilan. Le bilan sur les choix que nous avons fait, pour devenir qui nous sommes, humains, et comment nous avons transformé nos sociétés et notre habitat.

Aujourd’hui, je crois qu’un changement de paradigme s’opère et soulève d’innombrables questions sur notre identité, notre rapport à la nature et nos rapports entre humains. Les réponses à ces questions vont jouer un rôle déterminant sur ce que nous seront devenu en 2050.

Pour ma part, je choisi la photo comme médium et comme moyen de collectionner les souvenirs et les preuves de ce que nous étions, avant 2050. Je vois mon travail comme un album de l’humanité que chacun pourra regarder en se demandant quelle aura été sa place et sa participation à ce nouveau monde. »